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Vider la maison d’un proche : 7 erreurs à éviter

Cette tâche douloureuse peut se transformer en épreuve supplémentaire en cas d’impairs avec le notaire, le brocanteur ou l’agent des impôts… Suivez le guide !

Vider le logement d’un proche disparu ? Cela peut paraître insurmontable, surtout quand s’agit de le faire en urgence avant une vente ou pour arrêter de payer le loyer. “Il faut du courage pour laisser partir les souvenirs. De la méthode, pour trier. Et beaucoup d’énergie, pour s’attaquer aux montagnes d’objets”, prévient Françoise, qui vient de débarrasser la villa bretonne de ses parents en cinq week-ends. Évitez aussi les bévues qui font perdre du temps, de l’argent ou créent des frictions avec les autres héritiers. Sans parler des démêlés avec le fisc !

1. Oublier l’inventaire obligatoire
Un inventaire des biens est obligatoire si un héritier est mineur (ou sous curatelle ou tutelle), si la succession est acceptée seulement à “hauteur de l’actif net” (soit après déduction des dettes) ou si les héritiers ne souhaitent pas déclarer le mobilier pour la valeur forfaitaire de 5 % de l’actif successoral (avant déduction du passif) dans la déclaration de succession pour payer moins de droits de succession. “Ce dernier cas est fréquent, surtout en région parisienne car le prix du mobilier atteint rarement 5 % de la valeur des logements”, note Myrtille Dumonteil, commissaire-priseur judiciaire à Paris.

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