L’enquête autour de la mort d’Émile a connu une grande avancée mardi 25 mars 2025. Pour la première fois, quatre personnes ont été interpellées et placées en garde à vue, dont ses grands-parents. Des écoutes téléphoniques auraient mis en avant des dissensions entre les parents d’Émile et les grands-parents, selon les informations du Parisien.
Un rebondissement de taille. Mardi 25 mars 2025, pour la première fois depuis la disparition d’Émile, datée du 8 juillet 2023, des personnes ont été placées en garde à vue dans cette enquête. Elles sont quatre à être actuellement auditionnées pour “homicide volontaire” et “recel de cadavre”, a annoncé le procureur de la République d’Aix-en-Provence, Jean-Luc Blanchon, dans un communiqué. Les grands-parents maternels du garçonnet font partie des gardés à vus. Les deux autres personnes sont “deux des enfants majeurs” des grands-parents qui ont en tout neuf enfants.
L’avocate de Philippe et Anne Vedovini, Isabelle Colombani, a confirmé à l’Agence France-Presse leur placement en garde à vue. “Je n’ai aucun commentaire à faire, je viens de l’apprendre”, a-t-elle déclaré. Si depuis le début de cette terrible affaire, la famille d’Émile a toujours fait front derrière les grands-parents maternels, en coulisses, les tensions semblaient être bien présentes.
Selon les informations du Parisien, des écoutes téléphoniques, mises en place par les enquêteurs, ont mis en avant des dissensions entre les parents d’Émile et les grands-parents. Finalement, la famille ne serait pas si unie autour des grands-parents. Des divisions auraient été mises en lumières avec ces écoutes téléphoniques.
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