Quand on a connu un premier échec, difficile de ne pas mettre tous ses espoirs dans la suite. Le second mariage peut alors ressembler à un défi personnel : il faut que ça marche, coûte que coûte. Résultat ? Beaucoup d’attentes, un peu de pression, et parfois, une déception quand la fameuse lune de miel s’estompe et que les petits tracas quotidiens réapparaissent.
La clé, selon Afont, serait de rester soudés, coûte que coûte : « L’unité du couple est essentielle pour durer. Il faut penser équipe, pas compétition. » Parce que le véritable enjeu n’est pas de réussir « mieux qu’avant », mais de construire autrement, dans une complicité retrouvée.
L’amour en version 2.0 : plus complice, plus libre
Contrairement au premier mariage souvent centré sur la fondation d’une famille, le second se construit souvent autour du couple lui-même. Moins de pression sociale, plus de liberté, et une plus grande conscience de ce qu’on veut – ou pas.
C’est donc le moment parfait pour miser sur les passions communes, les projets à deux et la légèreté qu’apporte la maturité. Finis les « il faut » et les « on doit », place aux envies partagées. Une balade à vélo le dimanche, un week-end improvisé en Provence, ou tout simplement le plaisir de se retrouver le soir autour d’un dîner en tête-à-tête.
Et si les statistiques se trompaient sur vous ?
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