« Il se trouve que 98% des vi*lences sexistes et sexuelles sont commises par des hommes de l’entourage… », expliquait-elle avant d’être interrompue par une euro-députée qui a mentionné le cas de Claire Geronmini, victime d’un agresseur en situation irrégulière.
Riposte et accusation
La réponse de Manon Aubry ne s’est pas faite attendre. « Vous utilisez la question des droits des femmes pour servir toutes vos obsessions racistes et xénophobes, c’est insupportable », a-t-elle lancé.
Cette remarque a visiblement déplu à la conseillère politique d’Eric Zemmour, qui a rétorqué par un ironique « Moi, je suis raciste ? C’est la meilleure ».
Plaidoyer pour l’action gouvernementale
L’intervention de Manon Aubry a également souligné l’attente des actes concrets de la part du gouvernement sur les vi*lences sexistes et sexuelles, mettant en avant le besoin de moyens et d’un changement dans la définition du vi*l.
« On aurait pu faire un chapitre sur la question des droits des femmes, mais vous voyez, ce chapitre n’a rien à voir avec les questions d’immigration », a-t-elle précisé, marquant une nette séparation entre les deux thèmes.
Polémique autour d’une défection politique
Dans un autre segment de l’émission, Sarah Knafo, figure de Reconquête, a commenté le départ inattendu de Marion Maréchal du parti juste après les élections européennes.
Elle a décrit ce départ comme une « pure trahison » des électeurs, soulignant l’impact négatif de cette action sur les supporters du parti et le débat politique en général.
ADVERTISEMENT