Le dîner : le repas clé pour une nuit réparatrice
« Le repas du soir doit nourrir sans fatiguer » : telle est la philosophie de Nina. Son dîner est conçu pour préparer au sommeil : légumes simplement rôtis, accompagnés de pseudo-céréales comme le sarrasin, le tout suivi d’une tisane relaxante. Elle bannit systématiquement les féculents lourds, les produits laitiers et surtout les fruits le soir. Car après 50 ans, le système digestif a besoin de repos plutôt que de travail nocturne.
Les aliments qu’elle a définitivement rayés de son alimentation
Nina a fait une croix sur les produits industriels ultra-transformés. Son critère est simple : si la liste d’ingrédients ressemble à une formule chimique, elle n’y touche pas. Adieu les plats préparés, les charcuteries, les pâtisseries industrielles, les céréales raffinées et surtout les sucres cachés. Pour elle, ce n’est pas une restriction, mais un choix libérateur.
Le véritable secret de Nina ? Une routine bien-être sans complication
Comme elle aime à le rappeler : « L’alimentation compte pour beaucoup, mais le mouvement et la sérénité complètent l’équation. »
Chaque matin commence par des étirements en douceur, suivis d’activités domestiques. Le soir, pas de programmes télé stressants : plutôt quelques mailles de tricot, une tisane réconfortante, et le coucher vers 22h30. Pas d’écrans. Pas de grignotage. Juste du calme et de la sérénité.
Et si la clé du bien-être résidait simplement dans l’art d’écouter son corps, un repas après l’autre ?