Avant de passer à l’acte, le père Gilliot a rédigé une lettre d’adieu dans laquelle il exprime son amour pour sa sœur et son beau-frère, rappelant que « l’amour seul compte ». Il y exhorte également à « annoncer l’Évangile » et souligne la bonté et la miséricorde de Dieu, témoignant ainsi de sa foi profonde jusqu’à la fin. Cette lettre, marquée par des sentiments sincères, reflète la douleur intérieure du prêtre face aux conflits et à son isolement.
Les conséquences d’un drame familial
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