“Margaret, il faut vraiment que je retourne travailler”, dit Tom en évitant le sujet et en la guidant déjà vers la porte.
Il lui a ouvert la porte et elle est sortie le cœur lourd.
Alors que la porte se referme derrière elle, enfermant l’homme qu’elle ne connaissait plus, Margaret marche dans le couloir, le claquement rythmé de ses talons étant maintenant plus lent. Ses doigts s’enroulent autour des bords de son sac à main, ses ongles s’enfoncent dans le cuir alors qu’elle s’arrête devant le bureau de Tom.
Le bourdonnement de la ville semblait s’estomper en un murmure lointain, la laissant avec l’écho du désintérêt de Tom résonnant à ses oreilles. Elle leva son regard vers le ciel, les larmes aux yeux.
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