Un homme tente de tuer son chien (6/10)
Un homme a tenté de tuer son petit chien, un malinois, pour être précis, qu’il venait d’adopter. Il lui a tiré dessus avec une arme à feu et l’a rué de coups, avant de l’enterrer vivant. Le tout, sous les yeux de sa petite fille de 8 ans. Un acte invraisemblable et d’une cruauté rare.
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Pourquoi un tel acte ? (7/10)
Mais pourquoi ce père de famille de 34 ans a-t-il agi de la sorte ? Selon les informations de France 3, Vasco (c’est le prénom du chien) a mordu une femme dans le jardin voisin, ce qui a mis son propriétaire dans une colère noire.
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Un récit effroyable (8/10)
Toujours d’après le média, le trentenaire a tiré trois fois sur l’animal, touché au flanc. Ensuite, le jeune papa a pris une fourche et l’a plantée dans la gorge du chiot à plusieurs reprises avant de le frapper violemment avec une masse. Pire, il a conclu cette horrible scène en enterrant Vasco, toujours devant son enfant.
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Les mots de l’élevage du clos d’Horka (9/10)
« Je n’ai pas de mots. Comment expliquer l’inexplicable, la barbarie de ces bourreaux à qui j’ai confié l’un de mes bébés. Ce soir mon cœur saigne pour mon petit Loulou. Excuse-moi d’avoir fait le mauvais choix », a-t-on pu lire sur la page Facebook de l’élevage du clos d’Horka, l’endroit où cet homme cruel a acheté l’animal.
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Le tribunal n’en revient pas (10/10)
Le propriétaire du malinois a été condamné à 12 mois de prison, dont 6 mois avec sursis et 6 autres mois avec obligation de porter un bracelet électronique. Le tribunal lui a également interdit d’avoir un animal à vie. « Même le tribunal était choqué », a expliqué Isabelle Pierrey, présidente de la SPA locale, qui s’était constituée partie civile pendant l’audience. Par miracle, l’animal s’en est sorti.
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Le samedi 15 mars 2025, dans la commune de Saint-Nicolas-lès-Cîteaux, en Côte-d’Or, une scène abominable a eu lieu. Le maître d’un chien qui avait fait une bêtise, a complètement perdu la tête et a martyrisé l’animal sous les yeux de sa fille de 8 ans. Les faits rapportés ont choqué le tribunal.