La science révèle un autre atout méconnu : cette position favorise l’activité du système glymphatique, ce mécanisme cérébral d’élimination des toxines qui pourrait prévenir certaines pathologies neurodégénératives.
Le bilan des autres positions nocturnes
Sur le dos : idéal pour l’alignement vertébral, mais problématique en cas de ronflement ou d’apnée. Cette posture réduit l’oxygénation sanguine et altère la qualité du sommeil profond.
À plat ventre : la pire option. Elle provoque une torsion cervicale, comprime les organes digestifs et gêne la respiration – un combo gagnant pour les douleurs musculaires et les réveils difficiles.
Côté droit : moins nocif que la position ventrale, mais susceptible d’aggraver les reflux gastriques et de surcharger la fonction hépatique.
L’importance cruciale de l’âge
Pour les nourrissons, la position dorsale reste la recommandation officielle pour prévenir le syndrome de mort subite du nourrisson. Chez les adultes matures, la donne change : après 60 ans, les risques d’apnée du sommeil augmentent significativement – le dos devient alors une position à proscrire !
Paroles d’experts… de leur propre expérience
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