Dès que les racines se dévoilent, vous pouvez transférer chaque graine dans un petit pot contenant un léger mélange de terreau universel agrémenté de perlite ou de sable pour optimiser le drainage. Bien entendu, le pot doit être percé, car l’eau stagnante peut rapidement nuire à votre jeune citronnier.
Durant les premiers jours, vous pouvez le recouvrir d’une cloche en plastique ou l’intégrer dans une mini-serre pour maintenir l’humidité sans pour autant détremper le sol. En ce qui concerne la température, elle doit osciller entre 17 et 28°C, mais prenez bien soin d’éloigner votre pot des courants d’air. Côté luminosité, optez pour un environnement bien exposé à la lumière indirecte. Si elle est insuffisante, n’hésitez pas à utiliser une lampe horticole. Enfin, les premiers temps, vous n’êtes pas obligé de fertiliser le pot, mais au bout de quelques semaines, il peut être bénéfique d’ajouter un peu de compost naturel ou même du marc de café pour booster la croissance.
Arrosage précis et lumière généreuse
Le citronnier n’aime pas avoir soif. Par conséquent, dès que vous constatez que les 3 à 5 premiers centimètres de terre sont secs, un arrosage s’impose. En période de croissance, une fois par semaine suffit, mais en hiver, il faudra espacer les arrosages.
Quant à la lumière, c’est l’autre clé du succès : six à huit heures par jour de lumière indirecte lui permettront de s’épanouir. Pour éviter que la tige ne penche, pensez à tourner le pot d’un quart de tour chaque semaine.
Bonus : sachez qu’un léger brumisateur sur les feuilles imite les conditions d’un climat doux et humide.
Quand le repiquer, le tailler et l’aider à fructifier ?
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