Deuxième signe qui doit alerter : le mal de tête soudain, intense, comparable à un « coup de tonnerre ». Ce type de céphalée violente n’a rien d’une migraine classique. Elle peut s’accompagner de troubles visuels, d’engourdissements, de confusionou de nausées.
Dans certains cas, cela peut traduire une hémorragie cérébrale, l’une des formes les plus graves d’AVC. Ici, pas de temps à perdre : un appel immédiat aux urgences est indispensable (le 15 en France, le 112 en Europe). Attendre que cela passe serait une erreur aux conséquences potentiellement graves.
D’autres signes subtils à ne pas sous-estimer
Le cerveau étant impliqué dans de nombreuses fonctions, un AVC peut également se manifester par :
- Une vision floue ou une perte soudaine de la vue, d’un œil ou des deux.
- Une perte soudaine d’équilibre ou de coordination : difficultés à marcher, vertiges, engourdissements, nausées inexpliquées.
Ces symptômes, souvent confondus avec une simple fatigue, une baisse de tension ou une mauvaise nuit, sont pourtant de véritables signaux d’alerte. Et comme le rappelle le Dr Parmar : « C’est la rapidité avec laquelle ces symptômes apparaissent qui doit alerter. »
Le réflexe qui peut sauver une vie
En cas de doute, un seul réflexe : appeler immédiatement les secours. Mieux vaut une fausse alerte que des conséquences irréversibles. Pour un AVC, chaque minute compte : plus la prise en charge est rapide, plus les chances de récupération sont élevées.
Le message est clair : écouter son corps, et oser réagir au moindre doute, c’est protéger sa santé et celle de ses proches.
Rappelons-le : en cas de doute sur un AVC, appelez le 15 ou le 112 sans attendre. Mieux vaut prévenir que guérir
ADVERTISEMENT